domingo, 27 de octubre de 2013

maison d'une dame hospitalisée squattée à Liège

Jeanine est hospitalisée pour un cancer du côlon. Il y a une grosse semaine, sa fille Linda, découvrait avec consternation que des squatteurs avaient profité de la maladie de sa maman pour s'approprier son domicile de Liège. Lorsqu'elle s'était rendue chez sa maman pour relever le courrier, elle avait constaté que les barillets avaient été changés et que des individus vivaient sans autorisation dans la maison familiale.

Linda appelle alors la police qui refuse d'expulser les indésirables sans un mandat de perquisition ou l'ordonnance d'un juge. Cela aurait dû être chose faite d'ici quelques jours mais, selon les journaux de SudPresse, les squatteurs auraient pris peur et auraient quitté les lieux. Le mari de Linda, accompagné d'une dizaine d'amis, s'est alors rendu sur place et a à nouveau changé les barillets.

Dans la maison de Jeanine, c'est la désolation. Les sans-gênes ont littéralement détapissé le hall d'entrée. Ils ont également retourné la maison. "Toutes les armoires ont été vidées de leur contenu. Tout a été mis dans la salle de bains et sur la terrasse. Je ne saurais dire si des choses ont disparu. Visiblement, tous les meubles sont là. Mais je ne connais pas le contenu exact des meubles de ma mère. Il faudra qu'elle revienne un jour ici pour tout vérifier. Et il n'y a pas de dégâts visibles non plus, mis à part le hall d'entrée qui a été détapissé", a confié Linda à SudPresse.

Et les ennuis de Linda et Jeanine ne se limitent pas à effectuer du rangement. En quittant la maison de Jeanine, les squatteurs ont abandonné toutes sortes de crasses dans l'habitation. Mais le pire, c'est que les deux femmes n'auraient pas le droit de s'en débarrasser. "Des matelas, des vêtements sales, des pantoufles, des bibelots…Le pire, c'est que je ne peux pas les jeter. Je risque des ennuis si je le fais. Tant qu'ils ne viennent pas les récupérer, je dois les garder durant un délai raisonnable. C'est comme ça, c'est dans la loi…", a-t-elle encore dit à nos confrères.

source: rtl

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